Touteconscience est conscience de quelque chose. Husserl Edmund. citation. Tweet Share Share. Share. Toute conscience est conscience de quelque chose. MĂ©ditations cartĂ©siennes (1931) Citations de Edmund Husserl Edmund Husserl. Autres citations. Octobre a toutes les colĂšres, – Novembre a toutes les chansons – Des ruisseaux dĂ©bordant d’eau claire, – E GĂ©rard
"La conception mĂȘme de la conscience, quel que soit son mode de manifestation, implique nĂ©cessairement la distinction entre un objet et un autre objet. Pour ĂȘtre conscients, il faut que nous soyons conscients de quelque chose et ce quelque chose ne peut ĂȘtre connu comme ce qu'il est, qu'en Ă©tant distinguĂ© de ce qu'il n'est pas. [
] Une seconde caractĂ©ristique de la conscience, c'est qu'elle est seulement possible sous forme de relation. Il faut qu'il y ait un sujet ou personne consciente et un objet ou chose dont le sujet est conscient. Il ne peut pas y avoir conscience sans l'union de ces deux facteurs et, de cette union, chacun d'eux n'existe que comme Ă©tant en rapport avec l'autre. Le sujet n'est sujet qu'en tant qu'il est conscient d'un objet ; l'objet n'est objet qu'en tant qu'il est perçu par un sujet la destruction de l'un ou de l'autre est la destruction de la conscience elle-mĂȘme". Henry Longueville Mansel, Limites de la pensĂ©e religieuse, 1858. "Le phĂ©nomĂšne fondamental de notre vie consciente va pour nous tellement sans dire que nous en sentons Ă  peine le mystĂšre. Nous ne nous interrogeons pas Ă  son sujet. Ce que nous pensons, ce dont nous parlons, c'est toujours autre chose que nous-mĂȘmes, c'est ce sur quoi nous sommes braquĂ©s, nous sujets, comme sur un objet situĂ© en face de nous. Quand par la pensĂ©e je me prends moi-mĂȘme pour objet, je deviens autre chose pour moi. En mĂȘme temps, il est vrai, je suis prĂ©sent en tant que moi-qui-pense, qui accomplis cette pensĂ©e de moi-mĂȘme ; mais ce moi, je ne peux pas le penser de façon adĂ©quate comme objet, car il est toujours la condition prĂ©alable de toute objectivation. Ce trait fondamental de notre vie pensante, nous l'appelons la scission sujet-objet. Nous sommes toujours en elle, pour peu que nous soyons Ă©veillĂ©s et conscients. Nous aurons beau tourner et retourner notre pensĂ©e sur elle-mĂȘme, nous n'en resterons pas moins toujours dans cette scission entre le sujet et l'objet et braquĂ©s sur l'objet ; peu importe que l'objet soit une rĂ©alitĂ© perçue par nos sens, une reprĂ©sentation idĂ©ale telle que chiffres et figures, un produit de la fantaisie, ou mĂȘme la conception purement imaginaire d'une chose impossible. Toujours les objets qui occupent notre conscience sont, extĂ©rieurement ou intĂ©rieurement, en face de nous. Comme l'a dit Schopenhauer, il n'y a ni objet sans sujet, ni sujet sans objet." Karl Jaspers, Introduction Ă  la philosophie, 1950, tr. fr. Jeanne Hersch, 10/18, 1981, p. 28-29. "Toutes les fois que nous pensons, nous sommes un moi dirigĂ© vers un connaissable, un sujet dirigĂ© vers un objet. Ce rapport est unique on ne peut le comparer Ă  aucun autre rapport au monde. Le moi implique un objet. Cette attitude de la pensĂ©e dirigĂ©e est d'autant plus marquĂ©e que nous pensons distinctement. Être Ă©veillĂ©, c'est cela. À chaque instant, cette situation est Ă©vidente pour nous, mais nous y pensons rarement. Si nous y pensons, elle n'en devient que plus surprenante. Comment accĂ©dons-nous Ă  un objet ? En le pensant et, par lĂ , en le frĂ©quentant ; en manipulant les objets manipulables, en pensant les objets pensables. Comment l'objet vient-il Ă  nous ? Par le fait que nous sommes frappĂ©s par lui, que nous le saisissons tel qu'il se donne Ă  nous, que nous le produisons sous la forme d'une idĂ©e qui s'impose Ă  nous comme exacte. L'objet existe-t-il par lui-mĂȘme ? Nous le pensons comme un objet existant et auquel nous allons ; nous l'appelons quelque chose, une chose, une situation, bref, un objet. [...] quel est donc ce lien d'unitĂ© Ă  l'intĂ©rieur duquel ils sont malgrĂ© tout assez sĂ©parĂ©s pour que le sujet soit, par la pensĂ©e, dirigĂ© sur l'objet ? Nous l'appelons l'englobant, l'ensemble du sujet et de l'objet, qui n'est lui-mĂȘme ni sujet, ni objet. La scission entre sujet et objet est la structure fondamentale de notre conscience. Ce n'est que par elle que le contenu infini de l'englobant parvient Ă  la clartĂ© [...] Si [...] ce qui est n'est ni l'objet, ni le sujet, ni objet ni moi, mais l'englobant, qui se rĂ©vĂšle dans cette scission, alors toute ce qui se prĂ©sence dans cette scission est manifestation. Ce qui est pour nous, est manifestation et tant qu'Ă©clairement de l'englobant, dans la scission sujet/objet". Karl Jaspers, Initiation Ă  la mĂ©thode philosophique, 1964, tr. fr. Laurent Jospin, Petite bibliothĂšque Payot, 1976, p. 31-32. "La notion clef de la structure du comportement est l'intentionnalitĂ©. Lorsque nous disons qu'un Ă©tat mental comporte une intentionnalitĂ©, nous voulons dire qu'il porte sur quelque chose. Par exemple, on croit toujours Ă  telle ou telle chose, on dĂ©sire toujours telle ou telle chose, tel ou tel Ă©vĂ©nement. Le fait d'avoir une intention au sens ordinaire n'a pas de rĂŽle spĂ©cifique pour ce qui est de la thĂ©orie de l'intentionnalitĂ©. Avoir l'intention de faire quelque chose, ce n'est qu'une des catĂ©gories de l'intentionnalitĂ©, comme la croyance, le dĂ©sir, l'espoir, la peur, etc. Un Ă©tat intentionnel – croyance, dĂ©sir, intention au sens commun – est caractĂ©risĂ© par deux composantes. Tout d'abord, ce que l'on peut appeler son contenu, qui fait qu'il porte sur quelque chose, puis son type », ou son mode psychologique ». Cette distinction est nĂ©cessaire, car le mĂȘme contenu peut se retrouver dans diffĂ©rents types. Par exemple, je peux avoir envie de quitter la piĂšce, croire que je vais quitter la piĂšce, avoir l'intention de quitter la piĂšce. Dans tous les cas, nous avons le mĂȘme conte- nu quitter la piĂšce ; mais sous diffĂ©rents modes ou types psychologiques croyance, dĂ©sir et intention respectivement. De plus, le contenu et le type de l'Ă©tat vont me servir Ă  lier l'Ă©tat mental au monde. Car c'est bien la raison pour laquelle nos esprits ont des Ă©tats mentaux pour nous donner une reprĂ©sentation du monde nous le reprĂ©senter comme il est fait, comment nous voudrions qu'il soit, comment nous avons peur qu'il se transforme, et ce que nous avons l'intention d'y faire, etc. Par consĂ©quent nos croyances seront vraies si elles cadrent avec la rĂ©alitĂ© du monde, et fausses si elles ne cadrent pas avec elle ; nos dĂ©sirs seront exaucĂ©s ou déçus, nos intentions concrĂ©tisĂ©es ou non. Aussi, gĂ©nĂ©ralement, les Ă©tats d'intention ont-ils des conditions de satisfaction ». Chaque Ă©tat, en lui-mĂȘme, dĂ©termine les conditions dans lesquelles il est vrai dans le cas d'une croyance, dans lesquelles il est exaucĂ© dans le cas d'un dĂ©sir ou les conditions dans lesquelles il est concrĂ©tisĂ© dans le cas d'une intention. Dans chaque cas, l'Ă©tat mental reprĂ©sente ses propres conditions de satisfaction. Ces Ă©tats ont une troisiĂšme caractĂ©ristique il leur arrive d'engendrer des Ă©vĂ©nements. Par exemple, si je veux aller au cinĂ©ma, et si j'y vais, normalement mon dĂ©sir va reprĂ©senter l'Ă©vĂ©nement mĂȘme qu'il reprĂ©sente le fait que je vais aller au cinĂ©ma. Dans ces situations il existe une liaison interne entre la cause et l'effet, car la cause est une reprĂ©sentation de l'Ă©tat mĂȘme qu'elle provoque. La cause reprĂ©sente et en mĂȘme temps provoque l'effet. Je donne Ă  ce genre de cause et d'effet le nom de causalitĂ© intentionnelle ». Comme nous le verrons, la causalitĂ© intentionnelle est d'une importance cruciale, aussi bien pour la structure que pour l'explication de l'action humaine. À beaucoup d'Ă©gards, elle est bien diffĂ©rente de la façon habituelle dont on dĂ©crit la causalitĂ©, lorsqu'on parle d'une boule de billard qui en heurte une autre et la fait bouger. Pour ce qui nous occupe, l'Ă©lĂ©ment essentiel de cette notion de causalitĂ© intentionnelle est que, dans les cas que nous allons considĂ©rer, l'esprit provoque l'Ă©tat mĂȘme qu'il a pensĂ©." J. -R. Searle, Du cerveau au savoir, 1984, tr. fr. C. Chaleyssin, Paris, Hermann, 1985, p. 83. Date de crĂ©ation 23/06/2013 1129 DerniĂšre modification 07/02/2015 1902 CatĂ©gorie Page lue 5737 fois Imprimer l'article avoirconscience de quelque chose, ou ( et ) ĂȘtre une conscience. Elle devient quelque chose en moi, ou quelque chose qui est moi, une sorte d’entitĂ© dont il faudrait percer les mystĂšres. Elle serait le siĂšge de la pensĂ©e et de la personnalitĂ© des individus. C’est ce deuxiĂšme sens qui, Ă  partir de Descartes, intĂ©resse avant
Le mot conscience vient de cum et scire, qui signifient savoir avec ». La conscience est en effet une connaissance qui est avec soi, qui nous accompagne. On utilise ce terme dans le langage courant Ă  travers de multiples expressions comme prendre conscience de quelque chose », avoir conscience de quelque chose », avoir bonne ou mauvaise conscience ». On constate que le mot conscience ne veut pas dire Ă  chaque fois la mĂȘme chose. On doit distinguer en effet la conscience morale, qui renvoie Ă  la capacitĂ© de chacun Ă  saisir le bien et le mal, de la conscience de soi, c’est-Ă -dire la facultĂ© humaine Ă  se penser soi-mĂȘme, Ă  se reprĂ©senter ses pensĂ©es et ses actes. La conscience de soi est prĂ©cisĂ©ment ce qui nous diffĂ©rencie de l’animal. Le cogito de Descartes, Je pense donc je suis », est, selon ce dernier, la seule chose que nous ne puissions mettre en doute. Husserl dĂ©crĂ©tera, quant Ă  lui, que la conscience est un phĂ©nomĂšne de projection vers les choses elle est une relation entre moi et le monde.
Jeme fais conscience de vous importuner si souvent de la mĂȘme chose. On dit dans le mĂȘme sens C'est conscience de faire telle chose. C'est conscience de le laisser dans l'erreur oĂč il est. Avoir de la conscience, ĂȘtre homme de conscience, Être attentif Ă  toute conscience est conscience de quelque chose dissertation toute conscience est conscience de quelque chose dissertation Director Miguel Ferro Meneses Redacção Ana Penim; AndrĂ© Ribeirinho; Carmo Miranda Machado; Conceição Xavier; Diogo Freire de Andrade; Miguel Soares; Paulo Andrade; JoĂŁo Bernardino; JoĂŁo CatalĂŁo; JosĂ© Teles Baltazar; Pedro Gaspar; Rita de Carvalho; Sara Andrade; SĂłnia Ferreira Fotografia Miguel Ferro Meneses Direcção Comercial Bruno Oliveira Directo - 966 556 342 Revisora Maria de Lurdes Meneses Produção Central Park ImpressĂŁo GRAFEDISPORT ImpressĂŁo e Artes GrĂĄficas, SA Tiragem Exemplares ProprietĂĄrio Central Park Sede Social Passeio do Levante - Lote 4 - Torre Sul 1990 -503 LISBOA Nr. de Registo ICS 123 919 DepĂłsito Legal nÂș. 190972/03 Email geral ConsciencedĂ©finition La conscience se dĂ©finit comme la connaissance plus ou moins claire de ce qui se passe en moi ou en dehors de moi. Elle est spĂ©cifique Ă  l'humain. - elle peut etre immĂ©diate ou rĂ©flĂ©chi - c'est un dynamisme : je peux prendre conscience de plus de choses au fur et Ă  mesure de la vie Qui suis-je ? je peux prendre conscience de ce que je suis seulement L’intentionnalitĂ© est le concept fondateur de la phĂ©nomĂ©nologie. Une dĂ©finition simple de l’intentionnalitĂ© serait de considĂ©rer la conscience comme une arme toujours braquĂ©e sur le monde, incessamment tendue vers lui. Selon Husserl, qui a repris le terme de son maĂźtre Brentano, la structure centrale de l'expĂ©rience est son intentionnalitĂ©, de son ĂȘtre dirigĂ© vers quelque chose. Une expĂ©rience est dirigĂ©e vers un objet en vertu de son contenu ou le sens ce qui reprĂ©sente l'objet toute conscience est conscience de quelque chose » A partir de cette structure fondamentale de la conscience en tant que conscience intentionnelle, la phĂ©nomĂ©nologie tente de repenser la conscience tous les champs d’expĂ©rience le temps, l’espace, la conscience de soi, le corps, le rapport Ă  autrui intersubjectivitĂ©, empathie, le langage, la culture, 
 Le processus intentionnel de la conscience est appelĂ© noĂšse, tandis que son contenu idĂ©al est appelĂ© noĂšme. La conscience est dite noĂ©tico-noĂ©matique dans la mesure oĂč elle est le rĂ©sultat d’une corrĂ©lation entre l’acte de pensĂ©e et l’objet visĂ©. L’ensemble des phĂ©nomĂ©nologues discuteront ou prolongeront ces vues de Husserl sur la conscience intentionnelle Sartre, Heidegger, Merleau-Ponty, Marion, 
 Laconscience est donc considĂ©rĂ©e comme une sorte de connaissance. En revanche, ce n'est pas si simple car il est possible de distinguer conscience et connaissance. La conscience signifie accompagnĂ© de savoir, et est souvent appelĂ©e retour sur soi ou redoublement. Nous sommes capables d'avoir conscience de quelque chose ou de nous-mĂȘme Le but de cet ordre, c’est l’amour qui vient d’un cƓur pur, d’une bonne conscience. » 1 TIMOTHÉE 15 CANTIQUES 57, 48 1, 2. Qui nous a donnĂ© une conscience ? Pourquoi pouvons-nous ĂȘtre heureux d’avoir une conscience ? JÉHOVAH a donnĂ© aux humains le libre arbitre, c’est-Ă -dire la libertĂ© de choisir. Pour nous aider Ă  faire les bons choix, il nous a donnĂ© un guide la conscience. C’est la capacitĂ© de sentir si quelque chose est bien ou mal. Si nous utilisons notre conscience de la bonne façon, elle peut nous aider Ă  faire le bien et Ă  ne pas faire le mal. Notre conscience est une preuve que JĂ©hovah nous aime et qu’il veut que tout aille bien pour nous. 2 Aujourd’hui, mĂȘme sans connaĂźtre les principes de la Bible, des gens font le bien et dĂ©testent le mal. lire Romains 214, 15 Pourquoi ? Parce qu’ils ont une conscience. Elle les empĂȘche de faire des choses mauvaises. Imagine comment le monde serait si personne n’avait de conscience ! Il se passerait certainement encore plus de choses mauvaises. Vraiment, tant mieux que JĂ©hovah ait donnĂ© une conscience aux humains ! 3. Comment notre conscience nous aide-t-elle dans la congrĂ©gation ? 3 La plupart des gens ne pensent pas Ă  former leur conscience. Par contre, nous qui servons JĂ©hovah, nous voulons que notre conscience marche bien. En effet, elle peut nous aider beaucoup Ă  garder la congrĂ©gation bien unie. Nous voulons que notre conscience nous rappelle les principes bibliques sur le bien et le mal. Mais pour former et utiliser notre conscience, nous ne devons pas seulement apprendre ce que la Bible dit. Nous devons aimer les principes de JĂ©hovah et ĂȘtre convaincus qu’ils sont bons pour nous. Paul a Ă©crit Le but de cet ordre, c’est l’amour qui vient d’un cƓur pur, d’une bonne conscience et d’une foi sans hypocrisie. » 1 TimothĂ©e 15 Si nous formons notre conscience et si nous l’écoutons, cela fera grandir notre amour pour JĂ©hovah et notre foi en lui. Notre façon d’utiliser notre conscience montre si nous avons une relation forte avec JĂ©hovah et si nous voulons vraiment lui plaire. Notre conscience montre aussi quel genre de personne nous sommes vraiment. 4. Comment pouvons-nous former notre conscience ? 4 Mais comment former notre conscience ? En Ă©tudiant la Bible rĂ©guliĂšrement, en mĂ©ditant sur ce que nous lisons, et en priant JĂ©hovah de nous aider Ă  appliquer ce que nous apprenons. Cela signifie que nous ne devons pas seulement apprendre des informations et des rĂšgles. Nous Ă©tudions la Bible avec l’objectif de mieux connaĂźtre JĂ©hovah. Nous apprenons quel genre de Personne il est, mais aussi ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas. Plus nous connaissons JĂ©hovah, plus notre conscience reconnaĂźt vite ce qu’il juge bien ou mal. Et plus nous formons notre conscience, plus nous pensons comme JĂ©hovah. 5. Que verrons-nous dans cet article ? 5 Mais nous pourrions nous demander Comment une conscience bien formĂ©e nous aide-t-elle quand nous devons prendre des dĂ©cisions ? Comment pouvons-nous respecter les dĂ©cisions que prennent d’autres chrĂ©tiens, guidĂ©s par leur conscience ? Et comment notre conscience peut-elle nous pousser Ă  faire le bien ? Voyons 3 cas oĂč nous avons besoin d’une conscience bien formĂ©e 1 les questions de santĂ©, 2 les divertissements et 3 la prĂ©dication. SOIS RAISONNABLE À PROPOS DE LA SANTÉ 6. À propos de quoi avons-nous peut-ĂȘtre des dĂ©cisions Ă  prendre ? 6 La Bible nous conseille de ne pas faire des choses qui nous feront du mal et d’avoir des habitudes raisonnables, par exemple quand nous mangeons et buvons. Proverbes 2320 ; 2 Corinthiens 71 Si nous obĂ©issons, cela nous aide Ă  protĂ©ger notre santĂ©. Mais nous tombons quand mĂȘme malades et nous vieillissons. Dans ce cas, nous avons parfois des dĂ©cisions Ă  prendre. Dans certains pays, il existe la mĂ©decine gĂ©nĂ©rale et d’autres mĂ©decines. Les BĂ©thels reçoivent souvent des lettres de frĂšres et sƓurs qui posent des questions sur diffĂ©rents traitements mĂ©dicaux. Beaucoup demandent Un serviteur de JĂ©hovah peut-il accepter ce traitement-ci ou ce traitement-lĂ  ? » 7. Comment prendre des dĂ©cisions Ă  propos du sang ? 7 MĂȘme si un chrĂ©tien demande ce qu’il doit faire, un BĂ©thel ou les anciens d’une congrĂ©gation n’ont pas le droit de prendre des dĂ©cisions mĂ©dicales pour lui. Galates 65 Mais pour l’aider Ă  prendre une bonne dĂ©cision, les anciens peuvent lui montrer ce que JĂ©hovah dit. Par exemple, JĂ©hovah nous ordonne de nous abstenir du sang ». Actes 1529 Cet ordre clair nous aide Ă  comprendre qu’on ne peut pas accepter un traitement qui utilise du sang total ou l’une de ses 4 grandes parties. Cet ordre peut mĂȘme influencer la conscience d’un chrĂ©tien pour dĂ©cider s’il acceptera ou non des parties plus petites de ces 4 grandes parties du sang. * note Quel autre conseil biblique peut nous aider Ă  prendre de bonnes dĂ©cisions ? 8. Comment Philippiens 45 nous aide-t-il Ă  prendre de bonnes dĂ©cisions Ă  propos des questions de santĂ© ? 8 Proverbes 1415 explique que celui qui manque d’expĂ©rience croit tout ce qu’il entend, mais que l’homme prudent regarde oĂč il met les pieds. Aujourd’hui, pour certaines maladies, il n’y a pas de remĂšde connu. Il faut donc se mĂ©fier d’un traitement quand on nous dit qu’il est formidable, alors qu’il n’y a pas de preuve qu’il est efficace. Paul a Ă©crit Que votre nature raisonnable soit connue de tous les hommes. » Philippiens 45 Un chrĂ©tien raisonnable se concentre sur ses relations avec JĂ©hovah, et pas sur des questions de santĂ©. Si sa santĂ© devient le plus important dans sa vie, il risque de devenir quelqu’un qui s’intĂ©resse trop Ă  lui-mĂȘme. Philippiens 24 On ne peut pas avoir une santĂ© parfaite Ă  notre Ă©poque. Donc, fais des efforts pour que le service pour JĂ©hovah soit le plus important dans ta vie. lire Philippiens 110 Forces-tu les autres Ă  ĂȘtre de ton avis ? cette photo va avec le paragraphe 9 9. a Comment Romains 1413 et 19 nous aide-t-il dans nos dĂ©cisions Ă  propos de la santĂ© ? b À cause de quoi risquons-nous de dĂ©sunir la congrĂ©gation ? 9 Un chrĂ©tien raisonnable n’essaie pas de forcer les autres Ă  faire ce qui, d’aprĂšs lui, est le mieux. Dans un pays, un couple encourageait les autres Ă  prendre des complĂ©ments de nourriture en faisant un certain rĂ©gime. Des frĂšres et sƓurs ont acceptĂ© ; d’autres ont refusĂ©. Comme les complĂ©ments et le rĂ©gime n’ont pas eu de rĂ©sultat, beaucoup de frĂšres et sƓurs ont Ă©tĂ© mĂ©contents. Le couple avait le droit de choisir pour lui-mĂȘme d’essayer les complĂ©ments et le rĂ©gime. Mais risquer de dĂ©sunir la congrĂ©gation Ă  cause de questions de santĂ©, Ă©tait-ce raisonnable ? Dans le passĂ©, des chrĂ©tiens romains ont eu des avis diffĂ©rents Ă  propos de certains aliments et de certaines fĂȘtes. Quel avertissement Paul leur a-t-il donnĂ© ? Il leur a dit Telle personne juge un jour supĂ©rieur Ă  un autre ; telle autre personne juge qu’un jour est pareil Ă  tous les autres ; que chacun soit pleinement convaincu dans sa propre pensĂ©e. » Alors faisons attention Ă  ne faire trĂ©bucher » personne. Autrement dit, ne forçons pas les autres Ă  faire quelque chose que leur conscience ne leur permet pas de faire. lire Romains 145, 13, 15, 19, 20 Le service pour JĂ©hovah doit ĂȘtre le plus important dans ta vie. 10. Pourquoi faut-il respecter les dĂ©cisions personnelles des autres ? sers-toi de l’image du dĂ©but de l’article 10 Parfois, un TĂ©moin prend une certaine dĂ©cision sur une question personnelle, mais nous ne comprenons pas pourquoi. Que faire ? Ne le jugeons pas trop vite, et ne le forçons pas Ă  changer d’avis. Peut-ĂȘtre qu’il doit former sa conscience encore plus, ou que sa conscience est trop sensible. 1 Corinthiens 811, 12 Ou c’est notre propre conscience qui n’est pas complĂštement formĂ©e. À propos de la santĂ© et d’autres questions, c’est chacun de nous qui doit prendre des dĂ©cisions personnelles et en accepter les consĂ©quences. DE BONS DIVERTISSEMENTS 11, 12. Comment la Bible nous aide-t-elle Ă  choisir nos divertissements ? 11 JĂ©hovah a mis en nous la capacitĂ© d’aimer nous amuser pour que cela nous fasse du bien. Salomon a Ă©crit qu’il y a un temps pour rire » et un temps pour bondir ». EcclĂ©siaste 34 Mais les loisirs ne sont pas tous bons, reposants et fortifiants. De plus, il faut Ă©viter de passer trop de temps Ă  se divertir. Comment notre conscience peut-elle nous aider Ă  apprĂ©cier et Ă  profiter de divertissements qui plaisent Ă  JĂ©hovah ? Est-ce que ma conscience m’alerte quand je suis tentĂ© ? 12 La Bible nous prĂ©vient contre les Ɠuvres de la chair », comme l’immoralitĂ© sexuelle, l’impuretĂ©, la conduite effrontĂ©e sans honte, l’idolĂątrie, le dĂ©monisme, la haine, les dĂ©saccords qu’on ne rĂšgle pas, les crises de colĂšre, les disputes, les divisions, les sectes, l’envie et l’ivrognerie. Paul a Ă©crit que ceux qui pratiquent de telles choses n’hĂ©riteront pas du royaume de Dieu ». Galates 519-21 Alors demandons-nous Ma conscience m’aide-t-elle Ă  rejeter les sports agressifs ou violents, ou ceux qui encouragent en moi l’esprit de compĂ©tition ou l’amour de la nation ? Est-ce que ma conscience m’alerte quand je suis tentĂ© de regarder un film qui contient des scĂšnes pornographiques, ou qui encourage l’immoralitĂ© sexuelle, l’ivrognerie ou le dĂ©monisme ? » 13. Comment les conseils de 1 TimothĂ©e 48 et de Proverbes 1320 nous aident-ils Ă  propos des divertissements ? 13 Les principes bibliques peuvent nous aider Ă  former notre conscience Ă  propos des divertissements. Par exemple, la Bible dit que l’exercice corporel le sport est utile Ă  peu de chose ». 1 TimothĂ©e 48 Beaucoup trouvent que faire du sport rĂ©guliĂšrement est bon pour la santĂ© et redonne de l’énergie. Mais si nous voulons faire du sport en groupe, pouvons-nous en faire avec n’importe qui ? Proverbes 1320 dit Qui marche avec les sages deviendra sage, mais qui a des relations avec les stupides s’en trouvera mal. » C’est donc important de nous servir de notre conscience formĂ©e par la Bible quand nous choisissons nos divertissements. 14. Comment une famille a-t-elle appliquĂ© Romains 142 Ă  4 ? 14 Christian et Daniela ont 2 filles adolescentes. Christian dit Pendant notre culte familial, nous avons parlĂ© des divertissements. Nous avons Ă©tĂ© d’accord pour dire qu’il y a des façons de s’amuser qui sont bonnes et d’autres qui ne le sont pas. Mais quelles personnes sont de bonnes frĂ©quentations ? Une de nos filles s’est plainte que dans son collĂšge, pendant la rĂ©crĂ©ation, certains jeunes TĂ©moins se comportent d’une façon qui lui semble incorrecte. Elle se sentait poussĂ©e Ă  faire comme eux. Nous avons rĂ©flĂ©chi avec elle et conclu que nous avons tous une conscience, et que nous devrions la laisser nous guider quand nous choisissons ce que nous faisons et avec qui. » lire Romains 142-4 Ta conscience formĂ©e par la Bible peut t’aider Ă  te protĂ©ger des dangers. ces photos vont avec le paragraphe 14 15. Comment Matthieu 633 peut-il nous aider quand nous organisons nos loisirs ? 15 Combien de temps passes-tu Ă  te divertir ? Mets-tu en premier dans ta vie les activitĂ©s comme les rĂ©unions, la prĂ©dication et l’étude de la Bible, ou bien tes loisirs passent-ils avant ? Qu’est-ce qui est le plus important pour toi ? JĂ©sus a dit Continuez donc Ă  chercher d’abord le royaume et sa justice, et toutes ces autres choses vous seront ajoutĂ©es. » Matthieu 633 Quand tu dĂ©cides comment tu utiliseras ton temps, ta conscience te rappelle-t-elle ce conseil de JĂ©sus ? FAIS DE BELLES ACTIONS EN PRÊCHANT 16. Quel rapport y a-t-il entre notre conscience et la prĂ©dication ? 16 Une conscience bien formĂ©e nous retient de faire des choses mauvaises. Mais en plus, elle nous pousse Ă  faire de belles actions. Par exemple, prĂȘcher de porte en porte et en toute occasion. C’est ce que Paul a fait. Il a Ă©crit La nĂ©cessitĂ© m’en est imposĂ©e. Oui, malheur Ă  moi si je n’annonçais pas la bonne nouvelle ! » 1 Corinthiens 916 En imitant Paul, nous avons une bonne conscience, parce que nous sommes sĂ»rs de faire le bien. De plus, en prĂȘchant la bonne nouvelle aux autres, nous faisons rĂ©agir leur conscience. En effet, Paul a expliquĂ© qu’ en manifestant la vĂ©ritĂ© », nous sommes un bon exemple pour la conscience de tous les humains. 2 Corinthiens 42 17. Comment une jeune sƓur a-t-elle obĂ©i Ă  sa conscience formĂ©e par la Bible ? 17 À 16 ans, Jacqueline a Ă©tudiĂ© la biologie Ă  l’école. Mais on enseignait la thĂ©orie de l’évolution aux Ă©lĂšves. Ma conscience ne me permettait pas de participer autant que d’habitude aux discussions en classe. Je ne pouvais pas ĂȘtre d’accord avec la thĂ©orie de l’évolution. J’ai expliquĂ© mon point de vue Ă  mon professeur. J’ai Ă©tĂ© surprise, car il a Ă©tĂ© trĂšs gentil et il a proposĂ© que je parle de la crĂ©ation devant toute la classe. » Jacqueline a Ă©tĂ© contente d’avoir obĂ©i Ă  sa conscience formĂ©e par la Bible. Ta conscience te pousse-t-elle Ă  faire le bien ? 18. Pourquoi voulons-nous avoir une conscience bien formĂ©e et sĂ»re ? 18 Notre objectif est de nous laisser diriger par les principes de JĂ©hovah. Et notre conscience peut nous aider Ă  y arriver. Nous formons notre conscience en Ă©tudiant rĂ©guliĂšrement la Bible, en la mĂ©ditant et en appliquant ce que nous apprenons. Ainsi, ce merveilleux cadeau est un guide sĂ»r dans notre vie de chrĂ©tien !
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Cetteformule est de: Qcm «CONSCIENCE & INCONSCIENT» - 'Toute conscience est conscience de quelque chose'. Site de QCM de culture gĂ©nĂ©rale et tests psychotechniques pour tous les concours de la Fonction publique * Conscience immĂ©diate du monde Conscience rĂ©flĂ©chie de soi Conscience morale Prendre conscience de quelque chose → rĂ©aliser → se rendre compte ĂȘtre consciencieux Prendre conscience ĂȘtre inconscient ĂȘtre conscient = Ă©veillĂ© je pense donc je suis » subconscient » → ce qui Ă©chappe avoir la conscience tranquille » se donner bonne conscience » Criquet → conscience personnifiĂ©e → guide conscience du bien et du mal Les meilleurs professeurs de Philosophie disponibles4,9 18 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 78 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !4,9 18 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 78 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !C'est partiI/ La conscience est un pouvoir de reprĂ©sentation du monde et de soi La conscience est un pouvoir de connaissance de soi, du monde et du bien et du mal. Un savoir qui accompagne mon ĂȘtre, mes pensĂ©es en gĂ©nĂ©ral. Si on prend un ĂȘtre inconscient comme un dormeur, il est comme un objet puisqu’il ne se reprĂ©sente ni le monde, ni lui-mĂȘme. Quand il se rĂ©veille, il se sĂ©pare du monde. Il devient un sujet qui se reprĂ©sente. On ne voit le monde qu’à travers notre conscience. Nous jugeons le monde par des valeurs esthĂ©tiques, morales, culturelles. ProblĂ©matique Comment peut-on rendre du pouvoir des reprĂ©sentation de la conscience ? Que pouvons-nous savoir de nous-mĂȘme ? II/ Nature et fonction de la conscience A/ Descartes et le cogito 1596-1650 Recherche de vĂ©itĂ© et pour cela, Descartes va douter de toutes les certitudes qu’il a et qu’o lui a appris. Descartes pratique le doute mĂ©thodique. Il examine par Ă©tape les certitudes. Il commence avec les certitudes sensibles → les sens nous trompent parfois → hologrammes, illusions Par consĂ©quent, on peut ĂȘtre certain qu'ils nous trompent pas tout le temps. Argument du rĂȘve mettre en doute la rĂ©alitĂ© des choses. → certitudes rationnelles 2+2 = 4 1+3 = 4 => 2+2 = 1+3 logique mathĂ©matique 2+2 = 5 argument du Malin GĂ©nie → trompe Notre raison n'est pas un critĂšre fiable comme nos sens. → doute → pensĂ©e → ĂȘtre Je pense donc je suis » → vĂ©ritĂ© absolue Cogito ergo sum On peut douter de tout sauf de nous-mĂȘme en train de douter. → examen de ce que je suis Je suis une substance pensante » → Ăąme/esprit sens ? Se tenir → ce qui tient sous constitue un objet → ce qui ne change pas Il est en train de nous dire que notre ĂȘtre ne dĂ©pend aucune chose matĂ©rielle, nous sommes par nature dont la seule fonction est que de penser. Le corps est une rĂ©alitĂ© d'une autre matiĂšre. Corps/objets → Ă©tendue → espace ] mesurable/quantifiable → mĂ©canique Descartes peut ainsi construire les Sciences de la matiĂšre donc il Ă©carte toute interprĂ©tation psychique → L'Ăąme est plus aisĂ©e Ă  connaĂźtre que le corps ». Argument pour affirmer cette idĂ©e Argument pour nier cette idĂ©e Connaissance intuitive, immĂ©diate, directe de l'esprit Le corps est extĂ©rieur et une autre substance L'esprit est premier puisqu'il contrĂŽle le corps ? Connaissance du corps de l'autre ne m'apprend rien de son esprit Le corps sent les sensations physiques. Il subit et alerte. Esprit est invisible, corps visible Corps rĂ©pond aux lois de la nature de l'explicable mĂ©caniquement L'esprit, condition de la connaissance, mais la condition ne peut ĂȘtre connue. Connaissance complĂšte du corps/ incomplĂšte esprit inconscient Connaissance objective du corps/subjective de l'esprit Connaissance du corps de l'autre ne m'apprend rien de son esprit L'esprit est-il facile Ă  connaĂźtre que le corps ? Pour Descartes, la conscience est transparente Ă  elle-mĂȘme, c'est-Ă -dire je sens une intuition toujours dans mon esprit. La conscience reconnaĂźt toujours ce qui se passe en elle alors que la connaissance de la matiĂšre n'est pas intuitive. Pour Descartes, on se reconnaĂźt entiĂšrement. B/ Se sentir et se penser La conscience permet d'ĂȘtre une personne, de dire je », de se penser, de rester la mĂȘme personne au cours du temps. Kant prend l'exemple du petit enfant qui parle de lui Ă  la 3Ăšme perspnne. L'enfant ne fait que se sentir, c'est-Ă -dire, chaque instant et Ă©tat se succĂšdent sans lien. Quand il dit je » et prend conscience de lui-mĂȘme, il fait le lien entre tous ces Ă©tats, il synth »tise autours d'une unitĂ© qui est le je ». Le je » garantit notre identitĂ© personnelle. La conscience est un centre unificateur de nos expĂ©riences passĂ©es, prĂ©sentes et futures. OĂč trouver un cours philo ? C / La conscience comme choix Texte Henri Bergson ThĂšme RĂŽle de la conscience La conscience varie Ă  l'intensitĂ© selon les choix que l'on a. Partie 1 Bergson fait l'hypothĂšse d'un lien entre conscience et choix. Il montre qu'il n'y a pas de conscience chez les ĂȘtres qui dĂ©cident pas. Partie 2 l5 Ă  l12 Bergson examine chez l'Homme les actions habituelles qui font disparaĂźtre la conscience. Partie 3 l12 Ă  l15 Bergson s'intĂ©resse donc au moment oĂč la conscience est maximum, oĂč nos choix seront importants. Partie 4 Bergson montre enfin que la conscience varie en intensitĂ© en fontion des choses. 3Ăšme partie Action fait de faire quelque chose, un mouvement, un geste. Lien de cause Ă  effet Ă  un objet. SpontanĂ©e agir spontannĂ©ment sans ĂȘtre forcĂ©, venant de nous et de notre volontĂ© choix personnel Automatique action rĂ©alisĂ©e sans rĂ©flexion, ex automate est programmĂ© mĂ©caniquement Ă  agir de telle ou telle façon. Il n'y a pas besoin de penser. Conclusion La conscience apparaĂźt comme un pouvoir de connaissance. Elle lui permet de construire son identitĂ©, d'ĂȘtre un sujet pensant tout au long de sa vie. Cependant, la conscience de soi est-elle totale ? III/ Les limites de la conscience A- Le moi est une fin ? Avec Descartes, je sais ce que je suis et qui je suis une substance pensante. Or peut-on vraiment faire l'expĂ©rience du moi ? Si on essaye de dĂ©crire ce que nous sommes, on va donner des Ă©lĂ©ments de personnalitĂ©, mais on ne rencontre jamais je moi en tant que tel. Tous les empiristes pensent que nos connaissances viennet de nos expĂ©riences. Hume → courant philosophique qui considĂšre que nos connaissance viennent de nos sens. Hume nous montre alors que nous ne faisons pas l'expĂ©rience du moi mais seulement de perception particuliĂšre Ă  chaque instant. Pour lui, le moi est une fiction que les philosophes ont inventĂ©, une croyance qui vient de l'habitude mais on ne peut jamais savoir si on est une substance. Hume XVIII e → empirisme =/ rationalisme B/ Mon superficiel et moi profond On peut distinguer 2 façons de nous penser, voir, dĂ©finir, caractĂ©riser. PremiĂšrement, nous sommes un ĂȘtre en contact avec les autres, nous avons besoin de dire cequ'on ressent, de nous dĂ©crire. C'est ce que Bergson appelle le moi superficiel. DeuxiĂšmement, ce que je suis et qui je suis est unique. Je suis un ĂȘtre singulier parce que mon histoire, mon vĂ©cu n'est pas le mĂȘme que les autres. Par consĂ©quent, le moi superficile ne coĂŻncide pas avec le moi profond. On ne peut pas par la conscience saisir ce qu'est notre moi profond. Parce que notre conscience pense avec notre intelligence. Bergson → temps de la montre conscient, objectif quantitĂ© → temps de la conscience subjectif qualitĂ© Le moi superficiel est un moi quantitatif que mon intelligence dĂ©cide mais cela ne peut pas dire exactement mon ĂȘtre, c'est-Ă -dire mon moi rĂ©el, celui-ci est indicible, indescriptible dans un sens inconscient. Conclusion La conscience nous apparaĂźt limite, soit le moi est une fiction et il n'existe pas, soit il existe mais je ne peux jamais le saisir entiĂšrement. Il y aurait donc un inconscient en nous.
Focussur la thĂ©orie de l’information intĂ©grĂ©e. Tout comme l’Univers, la conscience est quelque chose que les chercheurs n’arrivent pas entiĂšrement Ă 
Maurice Merleau-Ponty 1908-1961, philosophe français, reprĂ©sente le courant phĂ©nomĂ©nologique de la philosophie française du 20Ăšme siĂšcle, mĂȘme si certains le considĂšrent comme un existentialiste, puisqu'il aborde dans ses ouvrages la problĂ©matique de l'existence de l'homme dans le monde. La perception est le concept central de l'ensemble de sa pensĂ©e c'est au moyen de la perception, en effet, que nous prenons conscience de notre appartenance fondamentale au monde qui nous entoure. La phĂ©nomĂ©nologie de la perception, son ouvrage majeur, paraĂźt en 1945. Reçu premier, en 1926, Ă  l'agrĂ©gation de philosophie, Merleau-Ponty aura basĂ© toute une partie de ses travaux sur la psychologie et la neurologie. De 1949 Ă  1952, il enseigne, Ă  la Sorbonne, la psychologie de l'enfant. Pour un grand nombre d'auteurs, Merleau-Ponty est le philosophe qui confĂšre au corps un nouveau statut, en lui attribuant une fonction et une place essentielle dans l'ensemble de son Ɠuvre. Lorsque Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir, en 1945, fondent la revue des Temps modernes, il fait partie, avec Raymond Aron notamment, du comitĂ© directeur. En 1951, il se fĂąche avec Sartre. Faisant, en 1947, dans Humanisme et Terreur, l'apologie du rĂ©gime communiste de Moscou, il adoptera par la suite des positions plus modĂ©rĂ©es, se dĂ©marquant de la ligne politique officielle du Parti communiste français. 1. Qu'est-ce que la phĂ©nomĂ©nologie ? a. Les leçons de la phĂ©nomĂ©nologie du philosophe allemand Edmund Husserl 1859-1938 La phĂ©nomĂ©nologie est une nouvelle discipline, inaugurĂ©e par Husserl au dĂ©but du 20Ăšme siĂšcle. Selon Husserl, la philosophie doit changer d'optique, et se mettre au service des choses mĂȘmes, lesquelles ne sont cependant pas, Ă  proprement parler, ces "objets naturels" que les scientifiques abordent comme de pures extĂ©rioritĂ©s que la raison ou la logique peuvent investir. Ce retour aux choses que prĂ©conise Husserl inaugure par consĂ©quent une nouvelle maniĂšre de les considĂ©rer les choses ou les phĂ©nomĂšnes ne sont pas donnĂ©es, mais constituĂ©es par notre conscience. Le phĂ©nomĂšne en lui n'existe que dans la mesure oĂč il est apprĂ©hendĂ© par une conscience. C'est prĂ©cisĂ©ment la conscience qui fonde le sens des phĂ©nomĂšnes ou des choses que nous pouvons trouver dans le monde. La saisie de ces objets par la conscience se nomme intentionnalitĂ©. b. L'intentionnalitĂ© Le concept d'intentionnalitĂ©, introduit par Husserl, s'exprime Ă  travers la cĂ©lĂšbre phrase Toute conscience est conscience de quelque chose. La conscience est Ă  ce titre une visĂ©e, et une non une pure "substance pensante", comme nous l'avait appris Descartes 1596-1650. Le "cogito", purement rĂ©flexif, considĂ©rait le monde comme une rĂ©alitĂ© extĂ©rieure Ă  la conscience. L'intentionnalitĂ© pose qu'en contemplant les objets de ce monde, la conscience les constitue, en mĂȘme temps qu'elle est constituĂ©e par eux. C'est pourquoi l'intentionnalitĂ© est principalement pourvoyeuse de sens. Merleau-Ponty reprendra Ă  son compte l'idĂ©e d'intentionnalitĂ©, qui tĂ©moigne de la rencontre entre la conscience et l'objet, mais en lui substituant celle de perception, grĂące Ă  laquelle il instaure en quelque sorte sa propre "phĂ©nomĂ©nologie". 2. La perception, notion fondamentale a. La perception est insĂ©parable du corps, qui la rend possible Prolongeant la pensĂ©e de Husserl, Merleau-Ponty prend une certaine distance vis-Ă -vis de la science, alors que paradoxalement, il s'intĂ©resse et participe aux travaux de la psychologie ou de la neurologie. Merleau-Ponty explique qu'on ne peut, comme le fait la science, sĂ©parer l'objet de celui qui perçoit cet objet. C'est pourquoi il se fait le critique Ă  la fois de la tradition empirique et de la tradition idĂ©aliste ou intellectualiste contre les empiristes, il dĂ©clare que les phĂ©nomĂšnes n'existent pas par eux-mĂȘmes. Contre les idĂ©alistes, que Descartes reprĂ©sente, il dĂ©clare que la conscience ne peut ĂȘtre isolĂ©e du monde dans lequel elle se trouve. La conscience ne peut ignorer qu'elle est immergĂ©e dans un monde dont elle ne peut prĂ©tendre pouvoir s'extraire. Percevoir, pour Merleau-Ponty, c'est essentiellement dĂ©couvrir du sens, ce dont se dĂ©sintĂ©resse la science, laquelle se contente de dĂ©crire les phĂ©nomĂšnes, sans les expliquer. La perception est rendue possible par le corps, qui est la fois objet du monde et point de vue sur le monde, puisqu'il est d'emblĂ©e et en premier lieu impliquĂ© dans la perception elle-mĂȘme. Le corps est "objet du monde" en tant qu'il est lui-mĂȘme, du point de vue de l'espace qu'il occupe nĂ©cessairement, une chose ou un phĂ©nomĂšne ; mais il est aussi un "point de vue sur le monde", puisque son rapport au monde est de façon spontanĂ©e, pourvoyeur de sens. Autrement dit, nous ne regardons aucune chose dans le monde sans immĂ©diatement les voir autrement qu'elles ne sont. b. Le corps propre La perception, chez Merleau-Ponty, est insĂ©parable de ce qu'il appelle le corps propre. Le corps propre se distingue du corps apprĂ©hendĂ© par les scientifiques, qu'ils assimilent Ă  une activitĂ© organique indĂ©pendante de toute conscience. Le corps propre renvoie Ă  cette vie du corps que la notion de corps organique est dans l'impossibilitĂ© de traduire. Le seul fait d'avoir des mains, des pieds, un corps, explique Merleau-Ponty, fait je suis porteur d'intentions. Je ne fais donc qu'un avec le monde dans lequel je me trouve, ce qui explique en outre pourquoi lorsque je perçois un objet, il manque nĂ©cessairement une partie de cet objet, puisque je suis prĂ©cisĂ©ment au-dedans de cet objet, lorsque je le perçois. Ce la signifie que la vie de l'Ăąme est insĂ©parable de celle du corps. Sur ce point encore, Merleau-Ponty se dĂ©marque de la philosophie cartĂ©sienne, qui instaurait un dualisme entre l'esprit et l'Ăąme Le corps et l'Ăąme sont des significations et n'ont de sens qu'au regard d'une conscience, affirme-t-il dans la PhĂ©nomĂ©nologie de la perception. Le corps propre inclut donc, en tant que tel, l'activitĂ© de la conscience, de la mĂȘme maniĂšre que celle-ci prĂ©suppose l'existence du corps. KwWa.
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